Cette étude présente les résultats des tests palynologiques de quatre prélèvements réalisés lors de l’opération archéologique de Rivecourt (60). Le site correspond à une occupation du Haut Moyen Age, situé sous une ferme moderne et à proximité d’un château seigneurial en bordure de l’Oise. Ce rapport vise à estimer le contenu palynologique des prélèvements dans l’optique de faire des analyses plus approfondies. Cette opération a été menée par la société Archéopole. La fouille ci-présente a été dirigée par Hélène Assémat, responsable de l’opération.
Cette étude fait état des résultats de tests de quatre prélèvements palynologiques, afin de déterminer la densité et la qualité de l’enregistrement pollinique provenant de comblement de structures en creux du site. Ces analyses viennent compléter des études anthracologiques réalisés sur les vestiges charbonneux collectés sur le site (Gaudin, 2020). L’opération archéologique « Ecoparc3 » s’étend sur deux zones de fouilles situées sur la commune de Heudebouville (27). Une première zone (zone 1) correspond à un gros établissement gaulois, daté de la Tène finale. La fouille d’une seconde zone (zone 2) a permis de mettre au jour un enclos de la Tène moyenne avec une réoccupation gallo-romaine. L’opération archéologique a été réalisée par la Mission Archéologique Départementale de l’Eure sous la direction de M. Dartois. L’étude a été commandée par M. Dartois, responsable d’opération, avec l’accord de son directeur M. Brun.
Une mardelle comblée (dépression humide close) a été mise au jour au cours d’une opération de diagnostic archéologique dirigée par Yann Waersegers (ARCHEO Constructions SA), sur prescription et sous contrôle scientifique du CNRA (opération 2019-080), sis sur la commune de Mompach au lieu-dit Pafebierg. Quinze prélèvements ont été effectués pour des études palynologiques. Un débat est toujours en cours sur l’origine naturelle ou anthropique de ces dépressions humides closes et sur leur datation. En l’occurrence celle de Mompach présente des indices visibles de travaux d’excavation. Elle se situe par ailleurs dans un secteur riche en vestiges gallo-romains (substructions, qanat, etc.). Ce rapport fait état des résultats de tests sur cinq prélèvements palynologiques, sur un total de quinze, afin de déterminer la densité et la qualité de l’enregistrement pollinique dans la séquence argileuse de cette mardelle. L’étude a été commandée Monsieur Laurent Brou archéologue du CNRA avec l’accord de son responsable Monsieur Foni Le Brun-Ricalens.
Les tests palynologiques ont révélé des pollens en petite quantité, avec une conservation « moyenne » (légères conservations différentielles). Il n’a pas été décidé de faire suite à ces tests.
Ce document présente les résultats des tests palynologiques de cinq prélèvements réalisés en stratigraphie dans la grotte diaclase de la « Karelslé » à Waldbillig (Luxembourg) . Ce rapport vise à estimer le contenu palynologique des prélèvements dans l’optique de faire des analyses plus approfondies. Le site a été fouillé de 1991 à1997 par le Musée d’Histoire et d’art du Grand-Duché de Luxembourg sous la direction de F. Le Brun-Ricalens, actuel chargé de direction du Centre national de recherche archéologique (CNRA) du Grand-Duché de Luxembourg depuis 2011. En 2017, un programme de reprise des d’études paléobotaniques sur la grotte Karelslé a été engagé par le CNRA, sous la direction de L. Brou et F. Le Brun-Ricalens avec la collaboration de L. Gaudin (Arkéomap) et de H.-G. Naton (Géoarchéon). Il a consisté dans un premier temps à l’exploitation et à la publication par L. Gaudin (Gaudin, 2019) des analyses palynologiques inédites effectuées sur la séquence de la Karelslé par J. Heim (ancien Laboratoire de palynologie et dendrochronologie de Louvain-la-Neuve) pendant les fouilles en y intégrant les études anthracologiques de J.-M. Pernaud (en partie publiées). Au cours de l’été 2019, une campagne de prélèvements palynologiques et sédimentaires été entreprise par l’équipe sur la coupe témoin, en parallèle d’anciens prélèvements réalisés par Jean Heim (série A à H). Ce rapport fait état des résultats de tests sur cinq prélèvements palynologiques, sur un total de vingt-sept, afin de déterminer la densité et la qualité de l’enregistrement polliniques dans cette séquence limono-sableuse de la grotte Karelslé.
Les tests ont permis d’observer des pollens en petite quantité mais avec une diversité convenable. Les compositions polliniques ne semblaient pas présenter de conservations différentielles.
La fouille révéla un site occupé dès la période augustéenne et au moins jusqu’au IIe siècle. Cette étude vise à estimer le contenu palynologique des prélèvements dans l’optique de faire des analyses plus approfondies. Le site a été fouillé par le Service de l’archéologie préventive sous la direction de Monsieur Pierre Perrichon. L’étude a été commandée par le service avec l’accord de son directeur Monsieur Hervé Selles.
Cinq prélèvements ont été réalisés directement en stratigraphie, par US. Les tests se sont révélés négatifs.
Ce rapport vise à estimer le contenu palynologique des prélèvements dans l’optique de faire des analyses plus approfondies. L’étude a été commandée par le Service départemental de l’Archéologie, par l’intermédiaire de Monsieur Michel et avec l’accord du chef du service, Madame Régeard.
La fouille archéologique concerne une sépulture « multiple » datant du Mésolithique. Trois prélèvements ont été réalisés directement dans le sédiment enveloppant . D’une façon générale le contexte de conservation n’était pas très favorable. Les inhumations, « restées exposées à l’extérieur » et le sédiment ne présentaient pas de conditions anaérobies permanentes (ex. nappe d’eau). Les tests se sont révélés globalement négatifs.
Ce document présente les résultats des tests palynologiques de huit prélèvements réalisés lors de la fouille du bassin antique du site de Saint-Martin-du-Val à Chartres (28), opération archéologique C128.19. Ce rapport vise à estimer le contenu palynologique des prélèvements dans l’optique de faire des analyses plus approfondies.
Le site a été fouillé par le service archéologique de la ville de Chartres sous la direction de Monsieur Bruno Bazin. L’étude a été commandée par le service avec l’accord de son responsable Monsieur Laurent Coulon.
L’étude des échantillons a montré des résultats positifs. Des pollens ont systématiquement été détectés en nombre. Une trentaine de taxons a été identifiée.
Nous ne
constatons pas de conservations différentielles (ex. prépondérance
de quelques taxons : pollen de Cichorioïdées par exemple). Ce
constat est caractéristique de bonnes conditions de conservation
liées probablement au maintien d’un contexte anaérobie jusqu’à nos
jours.
L’extraction
de l’échantillon n°8 situé à l’interface entre l’US 10720 et l’US
10992 a livré une concentration pollinique moins importante que
pour les autres lots. Cet échantillon reste néanmoins exploitable à
conditions de monter et parcourir plusieurs lames.
Aucun
pollen « atypique » et qui aurait pu indiquer une
contamination récente n’a été observé. Par exemple aucun pollen
d’érable, essence pourtant très présente à proximité immédiate
du site, n’a été détecté. Les résultats ne semblent donc pas
être affectés par l’arrosage important du bassin.
En ce qui concerne le contenu pollinique, nous constatons une prédominance des pollens de plantes herbacées. Le paysage apparaît largement ouvert pour la plupart des prélèvements. De façon générale nous constatons les mêmes tendances entre les échantillons de l’US 10992 à savoir : une dominance des pollens de Poacées (ou graminées) avec quelques pollens de céréales et de plantes accompagnatrices de cultures (ex. Rumex sp., Chenopodiacées, Polygonum sp.).
Les
boisements sont faiblement représentés. L’orme, l’aulne, le
noisetier et le bouleau occupent probablement des secteurs humides de
la zone alluviale de l’Eure. Il semble y avoir un peu plus de pollens
d’arbres pour les échantillons de l’US 10720 (à confirmer).
Arkéomap était présent lors de cette journée consacrée à la conservtaion et restauration du bois archéologique. Elle permit de réunir des acteurs de la chaîne opératoire allant de la découverte de bois archéologiques à leurs conservation, puis restauration et valorisation. Cette journée s’est déroulée dans les locaux d’Arc’Antique. Bravo aux organisateurs!
ArkéoMap était présent lors des journées de l’ANACT qui se sont déroulées les 14-15 novembre à l’Auditorium de Musée d’Art Contemporain à Nice (06). Bravo à l’équipe du service archéologique de Nice Métropole pour l’organisation et leur accueil !!!
Cette formation de deux jours est régulièrement proposée aux personnes souhaitant s’initier à la géostatistique grâce à des logiciels libres : R et QGis.
Les objectifs de cette formation sont de deux ordres :
Acquérir des principes de base en Géostatistique : les principales méthodes d’interpolation (Krigeage, Splines, Inverse de la distance), rappels sur des méthodes statistiques.
Élaborer et appliquer des démarches d’analyses spatiales et notamment parvenir à mesurer des degrés de corrélation entre des distributions spatiales de différentes couches géographiques à l’aide de statistiques descriptives (analyses multivariées)
Public : Cette formation s’adresse aux professionnels amenés à exploiter des données spatiales (géomaticiens, chargés d’études, ingénieurs territoriaux, chercheurs, urbanistes…) souhaitant aller au-delà de la construction de cartes grâce à des concepts simples de la géostatistique. Exemples de structures d’appartenance des stagiaires : services des collectivités territoriales (services en géomatique et en urbanisme), instituts de recherche (ex. IRD, Universités, CNRS, INRA, INRAP, IFRMER) et sociétés privées (ex. dans les domaines de l’agronomie, des sols, de l’écologie, de l’archéologie, ex. LIMAGRAIN).
Intervenant : Loïc Gaudin, Docteur en Sciences de l’Environnement et chargé de cours à l’Université de Rennes 1, dirigeant d’ArkéoMap .
Organisation pédagogique :
présentation des principes théoriques sur la base d’un diaporama,
chaque partie de la formation est illustrée par des exercices grâce à
des ateliers pratiques sur des logiciels libres (utilisation de R, R
studio et Qgis),
un support « papier » d’une centaine de pages, résumant les
principes théoriques et pratiques est remis en début de formation à
chaque participant.
La formation a été conçue pour pouvoir être suivie en petits groupes voire en individuel. Chaque point théorique fait ensuite l’objet de manipulations ou exercices sur ordinateur. Une plage de temps est prévue en fin de formation pour faire des exercices sur des jeux de données préparés, mais ce temps peut aussi être mis à profit pour répondre à des problématiques particulières.
Pré-requis : Connaître les principes de base en SIG, être familiarisé à la manipulation de données.
La prise en main du logiciel R ne nécessite aucun pré-requis
particulier. Une initiation aux logiciels R et Rstudio est prévue en
début de formation.
Le nombre minimum de participants : 1 personne Le nombre maximum de participants : 3 personnes
Durée : 2 jours Horaires : 9h – 12h30 à 14h – 17h30
Dates : une session par an en fonction du nombre de participants. Les inscriptions pour les sessions de l’année en cours sont closes. Deux sessions sont prévues en janvier et mai 2020. Autres dates possibles sur demande.
Tarifs :
Communes, autres établissements publics : sur demande
Particuliers ou entreprises : Recherche d’un plan de financement
avec prise en charge de votre OPCA (dossier monté en collaboration avec
« NPK formation »)
Cette formation peut s’inscrire dans le cadre de la formation
continue. Elle est éligible aux financements des OPCA. Le dossier de la
convention de stage est monté en collaboration avec la société
« NPK-formation » référencée par Datadock.
Coordonnées : NPK Formation – 5 rue des Hauts Sablons 35400 St Malo
02 30 96 00 53 – http://www.npk-formation.com
email : contact@npk-formation.com