Ce document présente un inventaire de fragments charbonneux prélevés dans différents mortiers de l’aqueduc, supposé antique, de la rue du stade, sur la commune de Chaumes-en-Retz (44005). L’objectif est d’analyser ces charbons afin d’identifier les essences, mais aussi d’observer un certain nombre de traits anatomiques en vue de sélectionner des fragments pour des datations radiocarbones.
Il est en effet utile de connaître l’origine des fragments (brindilles ou grosse branche, appartenance du fragment à l’aubier ou au bois de cœur) afin d’éviter l’effet « vieux bois » sur les datations.
Ce document présente un inventaire de fragments charbonneux sélectionnés dans 11 prélèvements du site de Lérins (une des îles en face de Cannes). Il fait suite à une première sélection réalisée en mai 2021 sur 9 prélèvements. Cette étude vise à extraire puis analyser des charbons englobés dans des morceaux de mortier appartenant à une tour située sur l’une des îles de Lérins.
Il est en effet utile de connaître l’origine des fragments (brindilles ou grosse branche, appartenance du fragment à l’aubier ou au bois de cœur) afin d’éviter l’effet « vieux bois » sur les datations.
Cette étude vise à extraire puis analyser des charbons prélevé lors de la fouille de la colline du Château. L’objectif est d’analyser ces charbons afin d’identifier les essences, mais aussi d’observer un certain nombre de traits anatomiques en vue de sélectionner des fragments pour des datations radiocarbones et ainsi préciser la datation des niveaux des prélèvements. Il est en effet utile de connaître l’origine des fragments (brindilles ou grosse branche, appartenance du fragment à l’aubier ou au bois de cœur) afin d’éviter l’effet « vieux bois » sur les datations.
GAUDIN L., 2021 – Sélection de charbons en vue de datations radiocarbones pour 11 prélèvements effectués sur le site de la colline du château à Nice (Nice, 06). Rapport d’étude anthracologique, septembre 2021, 35 p. (Destinataire public : Service d’archéologie de Nice Côte d’Azur, R.O. M. Y. Petite, Dir. M. F. Blanc-Garidel)
Ces charbons proviennent de 6 prélèvements réalisés à l’intérieur des galeries de Roua situées dans les gorges de Daluis (06). Cette mine livre des traces d’une exploitation protohistorique, des vestiges de creusement par le feu et des vestiges d’une exploration de l’époque moderne / contemporaine. L’objectif est d’analyser ces charbons afin d’identifier les essences, mais aussi d’observer un certain nombre de traits anatomiques en vue de sélectionner des fragments pour des datations radiocarbones et ainsi préciser les périodes d’exploitation. Il est en effet utile de connaître l’origine des fragments (brindilles ou grosse branche, appartenance du fragment à l’aubier ou au bois de cœur) afin d’éviter l’effet « vieux bois » sur les datations.
Ce document présente un inventaire de fragments charbonneux sélectionnés dans 9 prélèvements du site de Lérins (une des îles en face de Cannes). Cette étude réalisée en mai 2021, vise à extraire puis analyser des charbons englobés dans des morceaux de mortier appartenant à une tour située sur l’une des îles de Lérins. Il est en effet utile de connaître l’origine des fragments (brindilles ou grosse branche, appartenance du fragment à l’aubier ou au bois de cœur) afin d’éviter l’effet « vieux bois » sur les datations.
Le rapport publié présente les résultats de l’analyse anthracologique de 6 prélèvements
de sédiments charbonneux réalisés lors de l’opération archéologique du site de
Saran (45), ZAC Portes du Loiret (Secteur Bassin de rétention et Zone D). Le site
concerne une occupation de type artisanale (un four de potier) et domestique mise en place le long d’un axe routier durant le haut Moyen Age (Fig. 25).
Le site a été fouillé par le service d’archéologie préventive du Département du
Loiret sous la direction de Madame Amélie Laurent-Dehecq. L’étude a été
commandée par le service avec l’accord de son directeur Monsieur Eric Gauthier.
Cette étude repose sur l’observation d’environ 350 fragments dont beaucoup ce
sont révélés difficiles à étudier car en cours de minéralisation ou trop fragmentés.
Très peu de fragments supérieurs à 5mm ont pu être examinés, toutefois des
observations complètes ont pu être menées à bien sur les petits fragments.
Cette étude a permis de constater quelques faits archéobotaniques intéressants,
notamment en ce qui concerne la qualité du bois choisi pour alimenter le four de
potier (fragments de chêne de gros à moyen calibre d’aspect luisant, les mesures de largeurs de cernes ont montré des valeurs hétérogènes et un contexte de croissance des arbres plutôt ouvert).